1930, Martinique. Au milieu d'une immense plantation se trouve la rue Cases-Nègres : deux rangées de cabanes en bois abandonnées par les adultes partis travailler dans les champs de canne à sucre. La rue appartient aux enfants et surtout à José, un orphelin de onze ans élevé par sa grand-mère M'an Tine. Celle-ci n'a qu'un rêve : que José fasse des études. Mais pour cela, il doit quitter la rue Cases-Nègres...
La réalisatrice Euzhan Palcy, née en 1956, adapte ici le roman “La Rue Cases Nègres” de Joseph Zobel. Ce n'est que sa troisième expérience de réalisation, mais le film a un grand succès en France et à l'étranger, remportant 17 prix internationaux, dont le Lion d'Argent à la Mostra de Venise.
1930, Martinique. Au milieu d'une immense plantation se trouve la rue Cases-Nègres : deux rangées de cabanes en bois abandonnées par les adultes partis travailler dans les champs de canne à sucre. La rue appartient aux enfants et surtout à José, un orphelin de onze ans élevé par sa grand-mère M'an Tine. Celle-ci n'a qu'un rêve : que José fasse des études. Mais pour cela, il doit quitter la rue Cases-Nègres...
La réalisatrice Euzhan Palcy, née en 1956, adapte ici le roman “La Rue Cases Nègres” de Joseph Zobel. Ce n'est que sa troisième expérience de réalisation, mais le film a un grand succès en France et à l'étranger, remportant 17 prix internationaux, dont le Lion d'Argent à la Mostra de Venise.